Chapitre deux.
Première partie.
Allongée dans son lit, la belle asiatique se demandait qui allait-elle tuer das les prochains jours. Il lui fallait du sang, mais il fallait une certaine logique, sinon les flics ne réussiraient pas à deviner sa prochaine victime et à lui tendre un piège. Elle devait leur laisser des indices. Pourtant les vêtements en était un. Ajouter à un autre ils réussiraient à faire le lien, mais il fallait d’abord une autre victime. La 4ème.
Elle se leva et prit l’annuaire. Elle le feuilleta jusqu'à tomber sur la liste des noms en C. Et prit le premier de la liste. Un certain Alain Cabi. Pointa son doigt sur ce nom et glissa jusqu'à son adresse. Dans le 12ème. Trop loin de chez elle, ils ne pourront pas définir un petit périmètre.
Elle procéda comme ça jusqu'à un homme s’appellant Justin Chole qui habitait a 10 minutes de chez elle. Elle devait alors voir si il était marié ou en couple. 11h30. On est dimanche, il devrait répondre au téléphone. Elle composa son numéro… Une sonnerie,deux, puis un homme décrocha :
« _ Oui allô ? répondit un homme dont la voix était assez grave.
_Bonjour M. Justin Chole, sondage annuel de la comptabilité des habitants de paris.
Elle utilisait toujours ce stratagème pour avoir des infos sur ses prochaines victimes. Si l’homme ne se doutait de rien et si il ne savait pas que ce sondage n’existait pas, elle réussit à lui soutirer des informations importantes
_Oui ? Que puis-je pour vous ?
_ Je voudrais savoir si vous êtes marié ou en couple et votre âge s’il-vous plait.
_ Je ne suis ni marié, ni en couple et j’ai 37 ans.
_Merci beaucoup. On vous rapellera.
Elle racrocha. Parfait. Il ne restait plus qu’à définir un nouveau lieu de crime. Elle sera lié aux habitudes de Justin. Elle sortit et prit sa voiture. Elle se gara pas loin de la maison de Justin et observa. Elle avait prit de quoi manger donc pas de problèmes de ce côté-là. 1h, 2h, 3h… toujours rien. Puis vers 17h, elle le vit sortir de chez lui en tenu de footing. Il se dirigeait vers le grand parc naturel protégé. Parfait… Elle le suivit pour bien voir si il allait vraiment dans le parc, puis quand il disparut dans la verdure elle rebrousse chemin pour revenir devant chez lui. Elle devait savoir à quelle heure il rentrait.
Après 1h45 chrono en main, Justin finit par rentrer. Ca lui laissait donc à peut près 1h30 pour fouiller chez lui.
10h30 du matin. Fabien consulte le dossier de l’autopsie. Cela ne lui révèle rien à part ce qu’il connaît déjà. Un idéogramme sur la poitriné tracé avec un objet pointu. Aucunes empreintes sur le corps. Ensuite il étudia les 3 dossiers. Le premier s’appelait Anthony Amano, 32 ans, vivant à paris. Et le deuxième, Kevin Brida, 23 ans, vivant lui aussi à paris. Il déploya une carte et y planta deux épingles rouges sur les lieux de vie des victimes. Ensuite, il prit deux épingles bleu et les planta sur leur lieux de mort. Ils étaient très rapprochés les uns des autres. Ils forments presque un parallèlogramme.
Ensuite il plaça une épingle bleu et une rouge au même endroit pour Joe minster, qui semblait être un cas isolé car il n’avait aucun rapport avec les deux autres. Pourquoi ? Deux victimes très proches et une autre tuée dans sa chambre d’hotel. Par contre, ils sont tous morts dans un hotel. Et pas toujours le grand luxe. Ils voulaient être tranquilles pour faire l’amour pensa t’il. Il se rappela un détail. Pourquoi emmenait elle les vêtements ? Pour cacher ses empreintes c’est évident. Ca veut dire qu’elle à un antécédent criminel ! Elle a trop peur qu’on trouve ses empreintes car elle est fichée dans ls dossiers de la police ! Il suffisait qu’on trouve une seule empreinte et elle serait foutue. Mais pour cela il falalit une nouvelle victime. Et ça n’allait pas tarder à arriver…
« La veuve noire venait de trouver sa proie et son plan d’attaque. Elle attendait dans l’ombre, ses yeux rouges luisants dans la pénombre, bête assoiffée de sang et prête à tout pour avoir ce qu’elle désirait. C’était tellement facile. Il lui suffisait de faire jouer son charme naturel et ensuite de planter son dard venimeux dans la malheureuse victime. » Elle s’arrêta de parler et referma le camescope. Il n’y avait presque plus de batterie. Il faudra penser à le recharger.